Jardins Composés

Et transformons!

Un lieu vide de couleurs, de sens...comment transformer une maison cubique et insignifiante en lieu de vie.

En lui enjoignant son semblable géométrique dans le jardin, des carrés au sol, qui servent la transition et en finissant par des lignes courbes qui défont et étirent l'impression géométrique.

La forme géometrique, carré et rectangle se marrie très bien avec le cercle, le rond.

Ipomées de Montréal

Le matin, au détour si droit, telle la ville, des vieilles ressemées, encensées, qui grimpent à l'envers, du décalage horaire. Morning Glory.

Animus, Anima...

C'est l'histoire de la comptabilité, ou à tout le moins, il faut que çà s'équilibre!

Tristesse d'une convention, ayant pour pourtour, qu'un regard centré sur le fini. Et l'infini, serait celui des médiateurs d'une conscience!

Je te pollinise, une abeille s'agrippe aux pattes des pleins de pollen, jaune, lumineux, pour qu'on les voient, c'est de saison, chaque printemps c'est pareil, et que pour nous le rendre, à celles, les fleurs, qui mâles et femelles, donnent ensemble leurs attributs, aux autres, insectes qui nous le donnent en miel...j'ai pas compté! et un jour je te paierais en nature, j'y serais obligé!

Composition

C'est qu'en 2007, j'ai donné tout pour faire advenir ces Jardins Composés, qui sont certes! une aventure personnelle, mais aussi professionnelle, puisque j'ai déposé un Kbis fin 2007. C'est aussi une démarche ouverte vers un autre regard, le vôtre. une autre envie de partager la Nature.

Depuis ce Tant émergeant de ma jeunesse qui voulait faire l'école de Paysagistes de Versailles, à l'époque peu d'autres écoles existaient, j'ai appris un peu partout l'expérience, ai choisi intuitivement ou raisonnablement les chemins qui me mènent au plaisir de choisir la Vie.

La Vie n'est pas n'importe quoi, et je ne sais pas quelle chance m'y a conduis. Je tente de comprendre pourquoi j'allie dans mon métier de paysagiste du patrimoine naturel, ce qui ferait que dans quelques années, celles de ma fille, en plein choix qu'elle devra faire, je pourrais lui expliquer sagement, j'espère, donc, lui expliquer que les plantes ressemblent aux hommes, elles sont aussi sensibles aux éléments. Ce, grâce à quoi je pourrais peut-être bientôt me dire photographe de la nature, celle qui se laisse photographier, imprimatur de l'image, parce qu'on la regarde, car on veut bien se laisser surprendre par elle.

Bonheur !!

Et d'intuition en observation, de réflexion en méditation, je ne serais à jamais qu'un transmetteur d'émotions.

Qu'il me permette! un autre regard...Exprima natur...Extrait de nature!

Un jardin pour ce qu'il est!

Qu'est-!l mon jardin! mon âme, celle du paysagiste, Bof! Ce n'est pas plus d'importance, que d'infinie reconnaissance, que de poésie, et d'immenses re-naissances. C'est un mot à la mode! Politique!
Extrait de la nature! Bonne-aventure!

Changement!

Accueillir les déçus, et détruire l'autre n'a jamais fait des heureux! en politique, dans la vie courante, dans les jardins...la nature gardera sa sagesse, la nôtre avec!

Itinéraire au jardin

L'attente! Ce matin, j'aimerais savoir ce que sont devenues, les plantes que j'ai planté ici ou là; iris d'Alger, son bleu si intense et le dessin de ses pétales, le viburnum burckwoodi et le raffinement incomparable de ses parfums, qui, à jet continu, si vous vous arrêtez auprès, vous électrise la nuque, vous cloue sur place, et que ce soit dit, de toujours s'en souvenir.
Quand ! reviendront les pennisetums et autres graminées sauvages, qui feront notre jardin en mouvement, sur l'air du vent. D'où viendront les graines semées au fil de saison, par la nature; que seront-elles? notre travail d'une terre si basse, nos indésirables! Coup de pelle ou désherbant?

La basse terre va faire son oeuvre, après que l'hiver, et ses bleus, ses marrons, ses roux, ses verts se sont donnés à voir, à tant qu'un jardin ne sera qu'au printemps ou l'été, l'an prochain, je ferais un jardin pour l'hiver, aussi!

Et la mésange charbonnière, qui chante, méfions-nous qu'elle ne commence à dévorer les jeunes bourgeons, qui commencent à pointer leur nez.

Les hautes "èrres" de notre regard, sourdent, là, au fond de nous, d'une envie de création, pour une année encore, un itinéraire au jardin, des jardins composés, comme le secret du jardin qui est en vous...

Le temps

Nicolas Hulot ce soir sur Tf1, "le temps nous dévore, si, l'on ne fait rien". Interprétation communicative! Non, le temps traverse ce qu'il, est!
A nous d'en faire, dans cet instant, dans l'instant! un autre Tant. Le tant c'est oser être soi aux limites du possible, sans chimères, ni rêves rousseauistes, et cà donne l'envie de travailler, de foncer, comme tous les matins.
Sans rien attendre d'autre que soi, non pas pour moi, mais pour une énergie collective.
C'est pour moi celà la démocratie participative, oser être ce que l'on est, sans être Royale, passer par des comités de démocratie participative, où le sbire local, va faire croire à la réalité de cette nouvelle idéologie.
C'est celà vouloir travailler à être, comment on voit le monde, notre monde proche, participatif, quotidien, voire lointain, comme Sarko, qui regardait en l'air, ou ailleurs, lui le ministre des Cultes, dès qu'il s'agissait de faire une passation de pouvoir entre son Moi et sa Réalité. Mais ce n'est que son Moi et sa Réalité, ce n'est pas moi. Ouf!
C'est un petit peu l'Abbé Pierre, sans être le seul, laïquement publié, pour sa participation durable (50 ans), et courageuse, hors les murs, de la mode! tendance bestiale.

Le feu, en France a tendance à élargir un peu trop large; j'ai observé le fonctionnement d'un feu, ce soir, paysagiste, somme de quelques observations . Le feu, sa flamme, montre...pardon monte autant plus haut, qu'elle s'alimente du large. Comme si la chaleur, agrémente la chaleur!!!! Ce soir, j'ai apprris à maîtriser le feu.

Nivolas Hulot agrémente son rêve, il n'a pas ratissé large au fond, la forme oui, mais après réflexion! il vit sur sa propre flamme.

Ceux qui restent, vont ratisser large: fusion-acquisition. Acquisition - fusion. Mondialement vôtre!!! Bon courage.

Restons des petites braises, blogoveilleurs, pour veiller...car à la base, la braise, c'est nous? Sans braise, pas de flamme!

Land-Art, Art of Land ou Land-Art

8 DÉCEMBRE 2010

L'Art de la Nature ou Land-Art, je fléchis à l'idée de devoir choisir, car, même préférant de loin, l'Art que la Nature nous propose à voir, j'aime bien le Land-Art, s'il ne se substitue pas en terme de création, aux innombrables éléments disposés ou pas, de celle-ci.

Pour l'instant, je trouve assez d'images à découvrir naturellement dans le ciel et sur cette terre. Il suffit, l'éphémère a tout dit...

D'un Temps si court, à Tant, attends. NON, CONTEMPLES LA CRÉATION, QUI A FAIT CE QU'ELLE A PU, ET NOUS FAISONS-NOUS CE QUE NOUS POUVONS !!! DEVONS-NOUS CHERCHER, COMPRENDRE, TÉMOIGNER...OU CONTEMPLER SILENCIEUSEMENT. POUVONS-NOUS LANCER UNE CHAÎNE MONDIALE, POUR S'ARRÊTER UNE MINUTE PAR JOUR, ET CONTEMPLER EN SILENCE TOTAL, POUR QUE L'AUTRE, ENTENDE...!
Passe et cours!
Ou Laisses le Tant être admiré, de loin, fugacement, sans vouloir te l'approprier. Il fait partie de toi, tu l'as regardé et admiré. Faisant autant sans e-©. Merci.

Les petits anges, le babouin, l'ourson et la chevêche se donnent à voir! Clignez dessus pour ouvrir plus grand...
© Maxence de Camaret
© Maxence de Camaret
© Maxence de Camaret
© Maxence de Camaret

Création

Le jardin n'est pas une création, il est une prolongation de notre vitalité parmi le monde des vivants.