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... ce qui m'intéresse, c'est le patrimoine naturel et ses ressources.
Les multiples façons qu'ont les graines de se disséminer, par exemple ! l'érable. Ou, les étages feuillus d'une plante de se positionner à angle droit, pour que le maximum de lumière atteigne chaque feuille, petit moteur de la photosynthèse...et notre poésie du jardin, ce regard moderne du jardin, enfin! pour que s'accomplisse un paisible quotidien, de travail, et non plus, un matin, tôt, sans rien, que vaille, notre peau...se lever tôt!!
Un jardin planétaire, à l'engrais de Gilles Clément, merci; un jardin pas que des fleurs du printemps, mais un jardin qui représente dans l'inconscient collectif, une absolue nécessité de prendre en compte au travers de chacune de nos parcelles, nos retrouvailles avec une dimension plus humaine de l'alimentation, des gens et de la culture du beau et de l'agréable; des parfums du matin de la rose ou du jasmin !
Le jardin n'est pas une nécessité souvent de paraître, comme j'ai pu l'observer, ou de comparer, mais cet espace personnel, où même la moindre petite fourmi qui bosse tout le jour, ne saurait porter un regard sur celui ou celle qui oserait se mettre ventre à terre, pour admirer le sol, sa vie et partager la vie de ces bestioles, y compris en sous-sol.
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Si le train emprunte le grand couloir
Le Sud approche comme un miroir.
Le regard change au fil des terroirs
Pour oublier Paris, ville mouroir.
Par les heures qui s’effilent, une, deux,
Humer l’air sec et brûlant devient feu.
Décrasser à très grande vitesse les yeux
Pour aller s’engloutir dans la Grande Bleue.
Demain déjà, amoureux de ma campagne
Caminando au petit matin, loin du bagne
Le merle et le rossignol en concurrence loyale
Donnent à écouter un sifflement royal.
Pour un jour, une nuit, nos amours du Midi
Nos amours au son du grillon, hi…hi…hi
Sous la lune et le chèvrefeuille, se pressent
Dans l’ivresse et à très grande vitesse…
Maxence de Camaret- Novembre 2002
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En Provence, le vent souffle là où on lui commande; un ciel bleu. Et puis le souffle du vent, va où il veut. En espèces sonates et trébuchantes, ou en esprit du lieu. Génius Loci.
J'ai fait un rêve de cyprès, qui n'accueillent pas par trois, mais qui marquent le paysage du Vaucluse. Monteux, L'Isle sur Sorgue, Ménerbes, Bonnieux, Gordes, Carpentras, Sénanque, et Beaulieu à Monteux, où j'espère que l'engagement du maire sera tenu (Journal de Monteux de 2010) de garder cette haie magnifique (photo 8 et 9), alors que les travaux d'un site écodurable ont commencés.
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Au fond d'une impasse du 11e, à Paris, en 2007, plusieurs ateliers d'artistes, dont celui d'Amélie Réveilhac.
Ce tableau d'arbres en pleine lumière m'avait donné envie, et je l'avais réservé, car j'aime bien déniché ces petites oeuvres très particulières, où on peut avoir la chance de voir l'artiste à l'oeuvre.
C'est un tableau particulier.
une éloge de la transparence mise en lumière...
qui se devine dans la nature ! Photo MdC Tours-2009
Photo MdC Tours-2009
d'un naturel songeur, qui cache aussi. Ce n'est pas Amélie.
Photo MdC Tours-2009
Dans le clair de l'impasse, et sur les bords de la Loire, à Tours, la Guinguette, endroit magique de fête bien agréable.
Rédigé à 20:35 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Tout ceci se passe le matin, à partir de 6h, lorsqu'on sait que le soleil atteint sa courbe de l'horizon est.
Tu prends ton café. Une clop. Tu te rappelles que l'ipomée, une fois plantée en graine, met 1 semaine à sortir avec deux feuilles, deux à lancer une tige, et si tu as mis un bâton ou un guide, trois, pour s'élancer à l'assaut, 5 ou 6 semaines en intérieur pour produire une première fleur, que voici.
Rédigé à 19:23 dans Couleurs | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Avec les vieilles fermes, les champs maraîchers firent la délicieuse dégustation de bien des palais, c'était autrefois !
Les alentours de Carpentras ne regorgent plus de vieilleries, comme celle-ci. J'ai eu l'occasion de visiter de près cette vieille bâtisse en 2002, alors abandonnée, mais depuis rachetée et restaurée.
Le patrimoine bâti et naturel ne se séparent pas Mètre après mètre, il faudrait rassembler l'atmosphère du lieu, après en avoir fait le tour, mètre après mètre.
Je voudrais revoir la maison de mes rêves, en 2002 ...et aujourd'hui, enracinés, ici où là !
Rédigé à 19:42 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rien de plus agréable qu'un concert en Live de quelqu'un qui chante les ïles, sur France ô
Rédigé à 21:33 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)