De là où le temps n'est qu'une apparence trompeuse pour nous signifier quelque chose de notre ignorance, on nous présente à la vie ou nous nous présentons à elle. Notre indulgence est immense!
Le lendemain, s'il s'agit d'un mal de main, nous ne savons plus comment dire bonjour à la vie. Comme si à deux-main, voulait dire qu'un autre temps existait déjà.
Notre première "vie" nous la devons à un premier regard, celui du souffle re-co-naissant, d'un regard admirant, d'un regard re-cherchant. Le voile aveuglant d'une recherche en-têtante, ne connaît pas le temps.
Grandir n'est et n'a pas le temps, mesurer prends du temps...
Les saisons fussent-elles d'un autre temps, n'ont pas engendrer de meilleur temps, pour l'instant!
Naître avec, n'a point de temps, c'est se re-co-naître! d'un autre tant!
waooh! magnifiue, ton texte, Maxence!
:-)
Isabelle
Rédigé par : Isabelle | 22 novembre 2006 à 19:51
Merci pour ce beau morceau.
Sujet fertile pour une ré flexion d'importance vitale/.
L'introduction de la notion du souffle était ,bien sûr,nécessaire
Rédigé par : jean lou | 19 novembre 2006 à 06:22