Si là, ce soir je pense à toi, Jardin, Nature, Paysage, celà veut bien dire que mon regard est sans nul doute comme un cri, une mélodie, un oeil bien ouvert et silencieux.
Ce sont mes sens qui, instinctivement me ré-apprennent le jardin de mon enfance. Combien de vers luisants, pendus aux fils des astres brillants!
Que d'enfants penchés sur cette terre, naturellement, de souvenirs de cache-cache dans les hautes herbes des prés à faucher, de plantes en semi-liberté; la vie a changé, d'accord, mais nos sens eux? enfouis peut-être, eux n'ont pas oublié. L'odeur du bois, les bruits des feuilles sous les pas, le pic-vert qui cogne le bois, nous rapellant la modernité de nos bruits.
Quoi nous guide! qui crie! qui j'èrre en souvenir du futur, proche et déjà approprié, d'une proche bulle financiature, où couvent déjà les prochains méfaits de leur nature? Les oeufs j'aime...
Doux rêveur!! mais oui, mais oui...Si je te parle ce soir, doux financiateur de notre Nature, future, c'est que tu es doux encore, car caché dans tes rêves mais faits! D'Où? Sur cette terre, Moi aussi, mais mes rêves sont déjà faits; toi tu t'agites déjà trop vite, moi je lance un cri en silence.
Je t'invite à regarder deux nouvelles bulles que tu ne connais pas encore, et voyons si tu vois. Vois, six mélodies: toi, ta bulle et ton cri, et, moi, ma bulle et mon cri.
Regarde et click! quicri! quicri! quicri!
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