Il n'y a pas à ma conscience de temps d'avance ou de temps de retard, seulement beaucoup de gens qui se mobilisent dans différents domaines, pour aider, faire avancer ou reculer dans le passé, certaines fois bloquer!!!! on se demande pourquoi...
Le temps d'avance, je n'y crois pas dans mon métier de paysagiste, parce que, je me sens intégrateur de la nature dans les jardins plutôt que créateur, vu mes antécédents à la campagne, et alors la nature a ses raisons que notre raison ne connaît pas. Et là, baisse le bla-bla-bla!!
Lisez plutôt le dernier Courrier Cadres de Décembre 2007 sur "Les métiers se mettent au vert"
Page 23: Lisez plutôt : en chapeau : "Des métiers moins spécialisés qu'il n'y parait" ou "Des opportunités pour les managers expérimentés" ou encore "Le réseautage, encore plus payant ici qu'ailleurs"
Avez-vous compris? L'éco-mondialisation...
Page 27: une merveille de raisonnement, le biohabitat"une approche qui nécessite la prise en compte de nouveaux paramètres: emplacement et orientation du bâtiment sur le terrain" je passe, car là j'ai un temps de retard visiblement, sauf que mon arrière grand-père (1850), comme d'autres d'ailleurs, a construit sa maison plein sud, la lumière est gratuite depuis longtemps, et il faut vendre du solaire en France, (je crois que çà marche pas très fort, d'abord, trop éco-nomique, je ris...éco-logique, à y perdre son latin, et tant qu'elle est naturelle, la lumière, elle aveugle, mieux vaut lui donner la consistance éco...mais là on tergiverse...bref!
Et je trouve que ce journaliste ferait mieux d'être un peu mieux éclairé, et ventilé par le Mistral qui souffle fort aujourd'hui, à moins qu'il n'est compris que le Mistral, il vaut mieux l'avoir dans le dos, que de face!
En parlant de temps d'avance, j'irais plus vite à comprendre où souffle le vent... pas vers les salaires indiqués par, sans doute, ce même journaliste, qui ne dit pas son nom, mais vers l'air pur que nous procure le Mistral, qui lui, semble pour l'instant épargné, par les changements climatiques, Dieu merci.
Je suis paysagiste, car pour rapatrier ma propre condition humaine à l'essentiel, je ne n'ai trouvé que ce seul terrain de jeu, pour m'amuser un peu plus dans ma vie, le jardin de mon enfance, l'infini de mes préférences, et je peux témoigner que ceux que je fréquente ont besoin de s'amuser, dans leurs jardins.
Jardins Composés
Commentaires
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.