Chaque printemps, à Goult, depuis 2005, j'entends sans attendre, la chouette chevêche, toute petite chouette, d'une taille d'une tourterelle, en un peu plus massive. Son chant, régulier à en crever, si ce n'était cet appel.
Si la, donné, comme un son de prévenance, et autrement si insistant, un prélude de Bach, contrepoint d'un UT, si, différent d'une célébrité commune, tellement à l'écoute d'un chant si peu connu...
Chaque année, les plantes et les oiseaux donnent, avec quelques variations, selon une adaptation ou climatique ou "affaminante", les prémices sans cesse recommencés d'une toute simple compréhension de ce que nous sommes!
Pour avancer, mieux vaut je crois pérenniser l'instant, le moment, l'événement, de ces vies, si éternelles recommençantes.
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