Le cycle est infernal, celui de l'eau, en ce printemps. Depuis Mars, avec quelques grosses averses, puis Avril ressemblant de mieux en mieux à un vrai printemps en Provence, comme il y a trente ans, voici le mois de Mai, mélange de très beau temps, de gros orages, de sirrocco depuis trois jours, avec des orages qui passent aussi vite que l'éclair, créés et poussés par des vents de 68 km heure, des bourrasques qui rendent fous, du sable jaune sur les feuilles...
Des concentrés d'orage de 1 km de large qui s'abattent sur un lieu au hasard d'une électricité concentrée, des arbres à l'épreuve de l'enracinement inverse (ici c'est le Mistral dominant), des jardins qui souffrent du vent chaud, des tiges de plantes amorphes malgré la pluie!
Et qui dit que la garrigue en Provence est sèche et sans couleurs!
Mon petit parapluie!
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