"La tristesse n'est rien d'autre qu'un mur qui s'élève entre deux jardins." Khalil Gibran
Raffaeli Milani"
La mémoire du jardin et le paysage sont vus ensemble comme la médiation entre l’être et l’existence, oscillant entre l’idéal du sentiment et le jeu de la réalité. Aujourd’hui la perte d’identité des lieux affirme la renonciation à la beauté d’où l’impératif de réinventer le jardin au risque de «ne plus espérer la retrouver, ni même nous améliorer nous-mêmes», cette nécessité fluctuant également dans la profondeur du spirituel et de l’inexprimable."
"C'est beau un jardin qui ne pense pas encore aux hommes" Jean Anouilh
Un lieu, un jardin doit briser, accepter! une limite entre montrer son caractère et taire ses prétentions, se fondre dans un ensemble. Pour qu'un silence particulier s'impose. Pas de recommandations à faire, car un lieu impose sa propre personnalité.
Contempler la Nature en Mai, vaut de prolonger une certaine forme de gaieté. C'est comme le temps qui passe, qui s'enraçine dans le Tant, de l'instant. Comme une racine, qui se forge une existence, pour un beau mois de Mai. Et des fleurs si belles, la nature vaincra!
Existence.
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