Quand son sourire qui flirtait avec rire,
Disait que la peau des magazines,
Donnerait le ton, pour une poupée de cire
Et là, devant toi, des dents blanches, à mine...
Elle dessinait, les yeux plein de mimes!
Et sans y arriver, tournait les pages.
Elle happait le souffle des magazines,
Et croyait se trouver dans l'effluve d'un gage.
Sur l'été qui passe, son sourire et donne,
Malgré la postérité d'une page oubliée,
Et si un souffle d'éternité qui fredonne,
Puisque, comme le miroir, il ne t'aurait pas publiée...
Ton sourire, celui que je ne connais pas
Celui emprunt de rire, qui dessine, qui n'ose se déclarer,
Quand advienne pour celui qui ne fait qu'un pas,
Un pas de plus, un pas de mieux, un pas de RER.
Dans ta ville, te cherchant à travers la neige,
Démesurée, comme un jardin, qui chantait,
Ton sourire, à la commissure de tes lèvres beiges,
Là où tu es, d'une chaleur qui se laissait pour un Embrassé.
Ton petit sourire de l'été, celui d'une si belle soirée,
Et alors que ton idée, pas l'ombre d'un nuage féminin,
Ton pas, si mesuré, profites au soleil d'un soupiré,
Et alors, d'un sommeil, derrière, qu'il advienne, tel un refrain!
Ou d'une nouveauté...infinitive, et pas d'ailes errent.
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