Des fois une idole dans ma tête, qui gondole,
Comme un goeland qui rejoint l'albatros, indole,
Une eau qui rejoint le sable et qui rigole,
Des fourmis qui sortent à l'ombre du soleil et babiole.
T'a qu'à te dire, et te redire je suis folle,
En moi c'est l'hiver des fois, mais cà désole,
Si je ne crois pas encore à mon désidole,
J'en rêve la nuit, le jour, au travers de la Parole.
L'Académie de l'Amour se reunit en conseil, Lol !
Chaque jour, elle vint, partit, revint, enfin, et parvint, quel bol !
La prairie où je la vois courir dans les herbes folles,
Mesure le vent de l'espérance tient-il son col ?
La prairie et la mer en circonstance s'affolent !
Cette abeille qui pique, aura son dard endemol,
Celle qui aura l'épris de mon amour, saura folle !
D'être amoureuse un jour un temps, d'un sol.
Dans l'éveil d'un matin, le martinet et la cistole,
Rompent l'air ambiant et réchauffent avant le sol,
D'un soleil, malmenant déjà les êtres qui volent,
D'une amère détermination, ne sauraient pas le vol.
Et si l'écureuil saute sur la vague, elle, adole,
Sitting sur la plage, admirant, sautant, vole !
Sur les sursauts du vent dans le sable, vols,
Et vole les grains de sable de leur place, vent, des molles.
Là où St Paul administrait la totalité d'une épave folle,
Jean admonestait l'interiorité de la fable, babydol,
Des connus, des gens vus, personne dans le formol !
J'ai des quiétudes, en dedans, et au dehors d'une colle.
Là, où ? j'en ai vu, une étendue, une mesure, si ras du col !
Il fit le tour de, ses poches, et n'en trouva qu'une bémol.
Un rêve me prit, deux ailes, qui étirent, et font un môle,
Rentre dedans, entre dans une clef de sol.
Comme un goeland qui rejoint l'albatros, indole,
Une eau qui rejoint le sable et qui rigole,
Des fourmis qui sortent à l'ombre du soleil et babiole.
T'a qu'à te dire, et te redire je suis folle,
En moi c'est l'hiver des fois, mais cà désole,
Si je ne crois pas encore à mon désidole,
J'en rêve la nuit, le jour, au travers de la Parole.
L'Académie de l'Amour se reunit en conseil, Lol !
Chaque jour, elle vint, partit, revint, enfin, et parvint, quel bol !
La prairie où je la vois courir dans les herbes folles,
Mesure le vent de l'espérance tient-il son col ?
La prairie et la mer en circonstance s'affolent !
Cette abeille qui pique, aura son dard endemol,
Celle qui aura l'épris de mon amour, saura folle !
D'être amoureuse un jour un temps, d'un sol.
Dans l'éveil d'un matin, le martinet et la cistole,
Rompent l'air ambiant et réchauffent avant le sol,
D'un soleil, malmenant déjà les êtres qui volent,
D'une amère détermination, ne sauraient pas le vol.
Et si l'écureuil saute sur la vague, elle, adole,
Sitting sur la plage, admirant, sautant, vole !
Sur les sursauts du vent dans le sable, vols,
Et vole les grains de sable de leur place, vent, des molles.
Là où St Paul administrait la totalité d'une épave folle,
Jean admonestait l'interiorité de la fable, babydol,
Des connus, des gens vus, personne dans le formol !
J'ai des quiétudes, en dedans, et au dehors d'une colle.
Là, où ? j'en ai vu, une étendue, une mesure, si ras du col !
Il fit le tour de, ses poches, et n'en trouva qu'une bémol.
Un rêve me prit, deux ailes, qui étirent, et font un môle,
Rentre dedans, entre dans une clef de sol.
Il y en a , de la bonne mesure, qui vivent, et qui luciolent...
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