... ce qui m'intéresse, c'est le patrimoine naturel et ses ressources.
Les multiples façons qu'ont les graines de se disséminer, par exemple ! l'érable. Ou, les étages feuillus d'une plante de se positionner à angle droit, pour que le maximum de lumière atteigne chaque feuille, petit moteur de la photosynthèse...et notre poésie du jardin, ce regard moderne du jardin, enfin! pour que s'accomplisse un paisible quotidien, de travail, et non plus, un matin, tôt, sans rien, que vaille, notre peau...se lever tôt!!
Un jardin planétaire, à l'engrais de Gilles Clément, merci; un jardin pas que des fleurs du printemps, mais un jardin qui représente dans l'inconscient collectif, une absolue nécessité de prendre en compte au travers de chacune de nos parcelles, nos retrouvailles avec une dimension plus humaine de l'alimentation, des gens et de la culture du beau et de l'agréable; des parfums du matin de la rose ou du jasmin !
Le jardin n'est pas une nécessité souvent de paraître, comme j'ai pu l'observer, ou de comparer, mais cet espace personnel, où même la moindre petite fourmi qui bosse tout le jour, ne saurait porter un regard sur celui ou celle qui oserait se mettre ventre à terre, pour admirer le sol, sa vie et partager la vie de ces bestioles, y compris en sous-sol.
Commentaires
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.