Jardins Composés

Ne faudrait-il pas!

Se soigner soi-même avant de vouloir soigner les autres, car c'est possible! Par la couleur, puisque la lumière soigne parce qu'elle nous révèle les couleurs. Sans lumière pas de contraste! Pas de moi, sans toi...On décide toujours d'arrêter la vie, ou de la prolonger, aux longueurs des ondes! On ne tutoie pas les ondes ni les vouvoie...on ne les internetoie pas non plus. Salut l'écran...

J'ai appris aujourd'hui, sur Arte, que lorsque la longueur d'onde du bleu était finie, car courte, le rouge lui prenait le relais, car longue. Telle est notre perception du monde des couleurs...je ne suis pas scientifique mais allez voir sur arteVOD: le monde des couleurs.

D'autant plus fascinant, que nous avons présenté avec une amie, un projet de jardins à Chaumont sur Loire, dont le thème est la couleur au jardin. Evidemment nous attendons le résultat de la sélection!

Là n'est pas le plus important, car au delà de la concurrence, existe une envie de partager quelque part cette réalisation.

La couleur au jardin, pour rappel vient de ma mère.

Se soigner c'est vivre, déjà. Pour ma part c'est le jardin...et c'est pas une nécessité, c'est naturel, je crois.

Poires et abattoir!

Un seul

Et Petite poire, petite et grande, et sans histoire, à boire,
Les Armoires, où l'on songe, à ranger jusqu'à leurs déboires!
En somme et pourtant, tout serait à dire, dérisoire...un jour de croire!
Avant que de mal leur laisser croire, alors chante petit loir...
Là encore aujourd'hui, dans la finance-soir, du pouvoir...

La Délicieuse et gratifiante, image du miroir, mouroir!
Pour Melody Nelson, reconnue aujourd'hui comme Musique d'un autre soir.
Il feint de croire, à l'autre bout de mon jardin, belle et illusoire,
Une Petite Gramme-Inée, sous le soleil, couleur de poire, à force d'y croire.

Si un Couloir s'évertue, à donner une lueur d'espoir, le 15 Novembre, G-Abattoir.

Et l'Enchantoir, du plus petit G8 à un grand G-émergent, émergency!! pour un grand lavoir...

Cac, Nikeï, Dow Jones, Nasdaq, Euronext, pour un déboire à voir, et enfin noir!

Ma petite lou!

Couleurs naturelles

Indigo, garance et gaude se mettent en scène sur le tissu!

Logistique du regard!!!

Artistes et présences! Paroles et monuments. Appareil du regard, et je regarde, et je suis, et je gère le patrimoine, et j'envie...mais je t'aime de ta présence, sans occulter tes yeux, si vivants devant, toi.

Et je me cale, et j'ose la vie, pour ce voyage, d'un Québec (là où çà se ressère) , si bonne nature...et j'aime, ce film des images passées, sans peur, autrement déversées! Et ces beaux yeux qui traversent mon regard.

Un jardin de ville, là où la nature résiste, un téléphone sonne! Et je parle de leurs jardins...en image!

Et je sonne à la porte du regard, mes fleurs! me bassinent de leur regard, soif!

Si tous ces mots ne fussent qu'un regard...

N'avez-vous jamais rencontré un fil de toile d'araignée, collant et dépétrant!!! Ou si le chardon vous pique, l'échinops ritro, celui qui fleurit en ce moment! avant dernière image d'un autre instant. Il est temps, par d'autres discours, de voir, et pas plus.

Grenailles de l'environnement!

Et si la fleur prenait la place de l'artiste et de la lumière, ampoule technologique...

Eau et Québécois!

On avance! petite lucarne sur l'eau.

On avance! petite lucarne qui incarne le désir d'eau...où l'avion arrive du Nord, entre Labrador et Gaspésie, par le Saint Laurent, mère du Québec, après et avec les Amérindiens.

L'image et le regard sont bien ensemble. Je disais il y a quelques temps que j'aimerais ne parler qu'en images.
Sur cette fontaine du Jardin Botanique de Montréal, je devine une lucarne...comme un visiteur du Québec que je n'ai jamais imaginé être. J'y suis arrivé par hasard, début Août. Je vois dans la première lucarne un tableau peint à l'époque comme une sorte de convoyage, puis dans la seconde lucarne, comme une chevauchée, style de cheval et bonshommes, des figures, saison hiver québecois, une rivière...des fleuves amassés, St Laurent...à l'étendue, et un petit saumon devant. Comme pour frayer, et depuis partager ces instants de l'histoire Québécoise, de ces gens que l'eau a façonné...

On se lève pour Québec à 4 heures du mat, pour un lever de soleil !!! Chevauchée dans les glaces! le petit bateau, créatif du beau paysage du Saint Laurent, au soleil du matin levant...on avance!

Goutte d'eau!

Au dessus des nuages!

Pour ne pas oublier cette réalité,une aile d'avion! sur cette région qu'est le Québec, qui fêtait plus spécialement à Québec, son 400e anniversaire en Juillet et Août. A 10.000 m tous les souvenirs flottent!! et légers, qu'ils soulèvent toutes les réalités, de ceux et celles qui se sont rencontrés au Québec pour voyager et voir...

Québec, Québec !!!

Ipomées de Montréal

Le matin, au détour si droit, telle la ville, des vieilles ressemées, encensées, qui grimpent à l'envers, du décalage horaire. Morning Glory.

Assemblages

Air d'été

Quand son sourire qui flirtait avec rire,
Disait que la peau des magazines,
Donnerait le ton, pour une poupée de cire
Et là, devant toi, des dents blanches, à mine...

Elle dessinait, les yeux plein de mimes!
Et sans y arriver, tournait les pages.
Elle happait le souffle des magazines,
Et croyait se trouver dans l'effluve d'un gage.

Sur l'été qui passe, son sourire et donne,
Malgré la postérité d'une page oubliée,
Et si un souffle d'éternité qui fredonne,
Puisque, comme le miroir, il ne t'aurait pas publiée...

Ton sourire, celui que je ne connais pas
Celui emprunt de rire, qui dessine, qui n'ose se déclarer,
Quand advienne pour celui qui ne fait qu'un pas,
Un pas de plus, un pas de mieux, un pas de RER.

Dans ta ville, te cherchant à travers la neige,
Démesurée, comme un jardin, qui chantait,
Ton sourire, à la commissure de tes lèvres beiges,
Là où tu es, d'une chaleur qui se laissait pour un Embrassé.

Ton petit sourire de l'été, celui d'une si belle soirée,
Et alors que ton idée, pas l'ombre d'un nuage féminin,
Ton pas, si mesuré, profites au soleil d'un soupiré,
Et alors, d'un sommeil, derrière, qu'il advienne, tel un refrain!

Ou d'une nouveauté...infinitive, et pas d'ailes errent.