Le rapace, un poète de la terre, celui qui sélectionne, comme on sélectionne les mots, pour cisailler la vie. Passe la fureur de la vie, passion et nostalgie, ce que pourquoi, Il vit et il sélectionne, tel un rapace, mes proies! Tes envies, labeur de mes terreurs, plus! faut-il absoudre, pour advenir, d'être ce qu'il advient!
Le jour où tu croises un regard de rapace, tu as tout compris! En face à face.
Je bats la campagne, de mes ailes volages! et je sais que là, planant, tombant comme un regard mirroitant la vie, tu es là! docile comme une proie, de je ne sais qu'une Vie, appropriée, qu'une autre balancée, que toi, en admirance, d'une autre Vie!
Alors, d'une autre vie, il éllabore, l'autre régularité, artiste d'un complément, advenu, comme désirée.
Tel est l'Homme! entre deux eaux, salée, douce!
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